🏐 Hadith Sur Le Temps Qui Passe Vite

InesMuslima On passe notre temps sur FB a faire semblant de tous connaĂźtre ! d'ĂȘtre parfaite ! d'ĂȘtre a top de l'apprentissage ! A faire des rappels ! A donner des conseils ! A critiquer Nuldoute que le but du Musulman sur terre est diffĂ©rent de celui des autres gens. La vie est courte et passe vite. Ce plus, que temps que nous pouvons consacrer Ă  Dieu devient encore plus court quand on sait que des annĂ©es entiĂšres de notre existence sont absorbĂ©es par le sommeil, le travail, les dĂ©placements, etc. Comment donc pouvoir rivaliser avec les nations Toutefois il ne faut pas la retarder jusqu’aprĂšs le milieu de la nuit, ce qui veut dire que le milieu de la nuit marque la fin du temps dĂ©terminĂ© pour l’accomplissement de la priĂšre du soir. Donc, c’est la fin de son horaire facultatif, selon cette parole du ProphĂšte (Salla Allah `Alaihi Wa Sallam) rapportĂ©e par `Abd-Allah ibn `Amr que le ProphĂšte (Salla Allah `Alaihi Wa Sallam 1 Le Messager d’Allah a dit : "La foi est de croire en Allah, ses anges, ses livres, ses messagers, au jour dernier et au destin qu’il soit en ta faveur ou non."(RapportĂ© par Mouslim).2) Le Messager d’Allah a dit : "La foi se dĂ©compose en soixante-dix branches et quelques. La meilleure branche est dire : "il n’y a pas de divinitĂ© digne d’ĂȘtre adorĂ©e si ce n’est Allah" et la Commentvivre plus longtemps - Muhammad Al-Nu'aym - Al Hadith La vie est courte et passe vite. Ce plus, que temps que nous pouvons consacrer Ă  Dieu devient encore plus court quand Desprojets de montres dĂ©veloppĂ©es selon des designs originaux et Ă  partir de mouvements suisses. Parce temps gris, je suis dans mes rĂ©flexions ! Une de mes arriĂšres petites-filles ayant six ans aujourd'hui, je pense Ă  cette vie qui se prolonge tant pour me semble passer trĂšs vite !Il me semble que c'Ă©tait hier que nous sortions de cette L'Heure n'aura pas lieu tant que le temps ne se sera pas contractĂ©, au point que l'annĂ©e passera comme un mois, le mois comme une semaine, la semaine comme un jour, le jour comme une heure; et l'heure s'Ă©coulera aussi vite qu'un tison enflammĂ©." (Tirmidhi) RĂ©pondre. molimo666 Bladinaute averti. 22 Juil. 2011 #3 freemuslim Ă  dit: "et il (Mouhammad) ne Sice n'est le fait qu' Ar-Rum est mentionnĂ© dans les prophĂ©ties de la fin des temps, on pourrait croire qu' Ar-Rum cessa d'exister suite Ă  la chute de Constantinople en 1453 ap. J.-C. ou 857 AH, mais le fait que le ProphĂšte 88 les ait mentionnĂ©s Ă  la fin des temps montre qu' Ar-Rum a continuĂ© d'exister sous une autre identitĂ©. YafJ4. Le 18 juillet 2022, Dr Abdelhamid Bentchikou est dĂ©cĂ©dĂ© Ă  Paris. Il est temps de raconter des Ă©lĂ©ments d’une longue et fructueuse amitiĂ© de plus de 50 ans entre nous deux. En 1970, j’ai rencontrĂ© Abdelhamid Bentchikou, Hamdani pour les familiers. Il Ă©tait le doyen fondateur de la FacultĂ© des Sciences Ă  l’UniversitĂ© de Constantine, en Est AlgĂ©rien. L’universitĂ©, toute neuve, Ă©mergeait encore de la terre. Moi-mĂȘme, j’y Ă©tais nommĂ© MaĂźtre de confĂ©rences dans le dĂ©partement de physique, tout aussi flambant neuf. Objectif sortir la premiĂšre promotion de licenciĂ©s en physique. DessinĂ© par l’architecte brĂ©silien, Oscar Niemeyer, l’universitĂ© Ă©tait en attente de sa vocation. La premiĂšre promotion est effectivement sortie en 1973, avec panache, mais aussi avec beaucoup de sueur et de labeur de la part des responsables. Durant toute la pĂ©riode de trois ans j’étais Ă©troitement associĂ© avec Abdelhamid, peut-ĂȘtre son plus proche collaborateur. Il avait beaucoup d’ambition et pour le dĂ©partement, et pour l’universitĂ©, et mettait suffisamment de peine pour y parvenir. Cette premiĂšre promotion avait sa signalĂ©tique propre, car elle a terminĂ© en audace par la premiĂšre Ă©cole d’étĂ© pour les nouveaux licenciĂ©s l’occasion a Ă©tĂ© l’éclipse totale du soleil Ă  Tamanrasset, dans le Sud de l’AlgĂ©rie. Le dĂ©partement de physique a rĂ©ussi Ă  y organiser des cours de physique solaire et atmosphĂ©rique avec les aprĂšs-midi consacrĂ©s Ă  l’observation et Ă  des mesures. L’école a Ă©tĂ© un grand succĂšs grĂące Ă  l’engagement sans faille d’Abdelhamid, et grĂące au concours du CNRS, France. Les nombreux obstacles administratifs pour amener des Ă©tudiants fraĂźchement licenciĂ©s Ă  Tamanrasset pour une durĂ©e de deux semaines ont pu ĂȘtre surmontĂ©s grĂące au soutien indĂ©fectible d’Abdelhamid. En automne de 1973, je suis retournĂ© travailler en Inde, mariĂ© entretemps. En 1974, et pour une pĂ©riode de huit ans, ma famille s’établit en Bourgogne, prĂšs de la ville de Cluny. C’était de nouveau l’occasion de renouer contact avec Abdelhamid. Il est en effet venu plusieurs fois nous rendre visite, et chaque fois, c’était la grande conversation autour des questions de sociĂ©tĂ©. Je pouvais voir combien ces problĂšmes le prĂ©occupaient. Il avait comme une prĂ©dilection pour tout sujet sociĂ©tal et spirituel. Ces sujets le travaillait de l’intĂ©rieur. Dans l’environnement trĂšs calme de TaizĂ©, il Ă©tait comme Ă©panoui. De 1982 au 1985, nous Ă©tions de nouveau retournĂ© travailler en Inde, avec la famille. En cette derniĂšre annĂ©e, 1985, c’était le retour dĂ©finitif en France. J’ai trouvĂ© du travail auprĂšs du Conseil RĂ©gional de Midi-PyrĂ©nĂ©es. Le contact avec Abdelhamid s’est vite renouĂ©, la faible distance entre Toulouse et Paris facilitant les choses. Cette fois-ci, il m’a parlĂ© d’un problĂšme qui lui tenait Ă  cƓur, et oĂč mes connaissances astronomiques pouvaient ĂȘtre utiles. Il s’agit de l’épineux problĂšme du calendrier islamique. Chacun sait que dans ce calendrier lunaire, le dĂ©but de chaque mois, doit ĂȘtre fixĂ© par l’observation de la nouvelle lune, abstraction faite de certaines confessions islamiques qui ont adoptĂ© un calendrier permanent et fixe. Or Abdelhamid se posait naturellement la question si, en ces jours oĂč l’astronomie est si dĂ©veloppĂ©e, on ne pouvait pas se servir de cet outil pour bĂątir un calendrier scientifique. D’autant plus que rien dans cette approche, ne pouvait ĂȘtre contraire Ă  la Loi de l’Islam. Cette loi – Sharia – et la science Ă©tait en parfait concordance, et non pas en opposition. Nous avons commencĂ© le projet vers 1987. On sait que le calendrier Islamique doit reposer sur trois jambes une premiĂšre qui l’enracine dans la Sharia et le Fiqh, Ă  partir des textes coranique et les hadiths, une deuxiĂšme qui suit une mĂ©thode scientifique Ă  jour et, finalement, une troisiĂšme qui repose sur l’acceptation du calendrier par la communautĂ© islamique. Quant au premier point d’ancrage, Abdelhamid y parvenait brillamment grĂące Ă  sa parfaite connaissance du Coran et des hadiths, et accessoirement, d’autres textes anciens. Quant au deuxiĂšme, ce n’était pas trop difficile, l’expertise scientifique Ă©tant disponible qu’il suffisait de cueillir, le troisiĂšme point d’ancrage est avant tout politique. Il ne suffit pas que le calendrier soit religieusement et scientifiquement valable, encore faudrait-il qu’il soit acceptĂ© et agréé par les diffĂ©rents gouvernement des pays islamiques Afrique du Nord, Turquie et l’Arabie Saoudite, notamment. La seule maniĂšre de contourner cet agrĂ©ment est de gagner la confiance des visiteurs du site, qui en feraient la publicitĂ©, voire la propagande, auprĂšs des autoritĂ©s de leur pays. AprĂšs tant d’annĂ©es, et malgrĂ© l’énergie et lutte acharnĂ©es dĂ©ployĂ©es par Abdelhamid, force est de constater que le troisiĂšme point est restĂ© le maillon faible de l’édifice. Non que le site Internet ait manquĂ© de visiteurs, et mĂȘme des admirateurs, d’aprĂšs la frĂ©quentation qui comptait par des millions et le nombre de messages d’admiration et de fĂ©licitations reçus. Mais personne n’est venu prendre la tĂȘte d’un mouvement, ni fourni le leadership pour pousser le calendrier au premier rang. Abdelhamid lui-mĂȘme a Ă©crit aux diverses autoritĂ©s islamiques, Ă  tous les niveaux. Et il a rencontrĂ© presque toujours l’indiffĂ©rence ou le manque d’intĂ©rĂȘt. MalgrĂ© le dĂ©sir exprimĂ© d’un calendrier unique pour le monde islamique ! Attardons-nous au dĂ©buts de ces gigantesques application et effort. En 1991, Abdelhamid rĂ©dige son premier livre an anglais, français et arabe. Il s’appelle Le temps de l’Islam » et propose un premier calendrier fiable pour les musulmans. Malheureusement, l’hypothĂšse scientifique de base Ă©tait erronĂ©e. Cela est normal dans un travail scientifique. Qu’à cela ne tienne il fallait corriger l’erreur et aller de l’avant. En 2020, Abdelhamid rĂ©dige une deuxiĂšme version de son livre de 1991. Mais dĂ©jĂ  auparavant il n’a pas chĂŽmĂ©, car l’erreur dans la premiĂšre approche est dĂ©jĂ  corrigĂ©e, et les rĂ©sultats mis Ă  disposition du public sur le site Internet par le spĂ©cialiste en informatique, Amit Patel, du Gujarat, Inde. Entretemps, il y eut des progrĂšs notables dans l’astronomie, notamment dans une mĂ©thode mathĂ©matique prĂ©disant la probabilitĂ© de voir Ă  l’Ɠil nu la nouvelle lune la plus rĂ©cente. S’agissant d’une probabilitĂ©, il s’agit d’un pourcentage 0%, 10%, 20%, etc. jusqu’à le certitude de la voir, c’est-Ă -dire, un pourcentage de 100. Cette opĂ©ration pouvait ĂȘtre effectuĂ©e Ă  chaque nouvelle lune, Ă  n’importe quel lieu sur notre terre, en prĂ©cisant la latitude et la longitude du lieu. Qui plus est, les probabilitĂ©s pouvaient ĂȘtre rĂ©unies, chaque valeur de la probabilitĂ© de 0 Ă  100, reprĂ©sentĂ©es par des courbes uniques appelĂ©es courbes de visibilitĂ© ». Cette mĂ©thode mathĂ©matique, due Ă  un astronome anglais, a rĂ©volutionnĂ© la science de calculer la visibilitĂ© de la nouvelle lune Ă  chaque lunaison. DĂ©sormais, les courbes de visibilitĂ© peuvent ĂȘtre tracĂ©es mois aprĂšs mois, pour toute la terre et pour toute nouvelle lune. Abdelhamid a adoptĂ© Ă  fond cette nouvelle mĂ©thode, avec son Ă©nergie et enthousiasme coutumiers. Le site Internet dĂ©diĂ© s’appelle dĂ©sormais succĂ©dant au prĂ©cĂ©dent Le travail fourni pour lancer le nouveau site en continuitĂ© avec l’ancien a Ă©tĂ© considĂ©rable. On peut difficilement imaginer le nombre de messages Ă©crits et les rĂ©ponses reçues. Abdelhamid s’est rĂ©vĂ©lĂ© tout Ă  fait apte Ă  relever le dĂ©fi, devenu presque le centre de sa vie. Pieux et fidĂšle, ce grand amoureux et connaisseur de l’Islam n’avait de cesse de combattre ce qu’il considĂ©rait comme des hĂ©rĂ©sies et dĂ©formations du message de l’Islam. Il a passĂ© beaucoup de temps Ă  combattre notamment les mĂ©faits de l’Arabie Saoudite et ses idĂ©ologies du Wahhabisme et du Salafisme. Voici l’exemple type d’un pays, considĂ©rĂ© comme sectaire il y a quelques dĂ©cennies, hissĂ© au premier rang parmi le monde musulman, libre de propager sa version Ă©troite de l’Islam Ă  travers le monde entier. Pour garder la vision juste, nous ne devons jamais oublier que l’interprĂ©tation saoudienne de l’Islam a Ă©tĂ© et demeurera sectaire et partisan. Cette importance d’Arabie Saoudite comme mesure dans tout ce qui est Islam a Ă©tĂ© acquis grĂące Ă  des richesses inouĂŻes du pĂ©trole sur sa territoire. Une partie de ses richesses a Ă©tĂ© sciemment utilisĂ©e pour inonder le monde entier de son idĂ©ologie. Les maux causĂ©s par ce pays ne se limitaient pas Ă  la propagation idĂ©ologique il a dĂ©crĂ©tĂ© que le calendrier pratiquĂ© dans le pays Ă©tait le seul vrai, peu importe sa conformitĂ© avec l’astronomie et des courbes de visibilitĂ© ! Abdelhamid a incitĂ© une enquĂȘte indĂ©pendante menĂ©e des annĂ©es islamiques 1400 Ă  1431 annĂ©es grĂ©goriennes 1980 Ă  2010. Sur ces trente annĂ©es, pas moins de 17 dĂ©clarations sur 32, pour les fĂȘtes de l’AĂŻd, Ă©taient fausses, la nouvelle lune ne pouvant ĂȘtre vue Ă  l’Ɠil nu sur le territoire du pays aux dates indiquĂ©es. Des multiples avertissements et mises en garde publiĂ©s sur le site sont restĂ©s sans rĂ©ponse. La mise sous tutelle de l’Islam par l’Arabie Saoudite semble total. Ce qui empire ce contrĂŽle le jour du grand pĂšlerinage, auquel chaque musulman adulte est astreint au moins une fois dans sa vie, Ă©tait Ă©galement laissĂ© au bon vouloir de l’Arabie Saoudite, les lieux saints Ă©tant situĂ©e sur son territoire. Dans ce domaine aussi, le pays est coupable de fausses dĂ©clarations, et pas qu’une seule fois. Cette maniĂšre cavaliĂšre d’envisager les choses les plus sacrĂ©es blessait profondĂ©ment Abdelhamid. Venait en sus la gestion toute aussi cavaliĂšre du pĂ©rimĂštre mĂȘme du site sacrĂ© Ă  la Mecque et, au-delĂ , de la ville elle-mĂȘme construction d’hĂŽtels de luxe, de riches centres commerciaux, suite des appartements et ainsi de suite. Tout cela relĂšve bien de la spĂ©culation fonciĂšre pure, au point oĂč certains journaux n’ont pas hĂ©sitĂ© d’appeler la ville transformĂ©e de Mecca-hattan ». Si on caractĂ©risait le vie d’Abdelhamid ces cinquante derniĂšres annĂ©es, les mots qui viennent Ă  l’esprit sont amour de l’Islam et l’amour de la vĂ©ritĂ©. Rarement personne a dĂ©ployĂ© une telle Ă©nergie, et disons-le, des moyens pĂ©cuniaires personnels honnĂȘtement gagnĂ©s, sans calcul et au service d’une seule cause. Il Ă©tait persuadĂ© qu’à la fin, la vĂ©ritĂ© ne pouvait que triompher. MoĂŻz Rasiwala Cosignataires Mme Assia Bentchikou/Bellady ; Amit Patel Anas ben MĂąlik dit Nous faisions la priĂšre du asr puis l’un de nous partait vers Qubñ’. En arrivant, il trouvait les habitants de cette localitĂ© [en train de prier le asr] alors que le soleil Ă©tait encore en plein ciel.»Hadith rapportĂ© par Boukhari n°551 Abu SĂąlih as-SammĂąn dit J’ai vu, pendant un certain vendredi, Abu Sa’üd al-Khudry en train de prier devant une chose qui le sĂ©parait des gens. Un jeune homme des bĂ©ni Abu Mu’ayt voulut passer devant lui, mais Abu Sa’üd [l’arrĂȘta] en le poussant par la poitrine. Et comme le jeune homme ne trouva pour passer que le chemin qui Ă©tait devant Abu Sa’üd, il essaya une deuxiĂšme fois de traverser le mĂȘme passage, et de nouveau Abu Sa’üd le repoussa, mais d’une maniĂšre plus brusque cette fois. D’oĂč le jeune insulta Abu Sa’üd puis se dirigea vers MarwĂąn, pour se plaindre. Quant Ă  Abu Sa’üd, il entra, aprĂšs le jeune homme, chez MarwĂąn, qui lui dit “O Abu Sa’üd! que s’est-il passĂ© entre toi et le/Us de ton frĂšre?- J’ai entendu, rĂ©pondit Abu Sa’üd, le ProphĂšte ç dire ceci Si l’un de vous est en train de prier devant une chose qui le sĂ©pare des gens, et qu’une personne veut traverser le passage qui est devant lui, qu’il la repousse! Et si cette personne refuse, qu’il la repousse avec violence! car il s’agit d’un dĂ©mon.”»Hadith rapportĂ© par Boukhari n°509

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