🩐 C Est Pas D Être Un Bon Cogneur Qui Compte

SteamCommunity: STAR WARS Jedi: Fallen Orderℱ . Aussi grand et fort que tu sois, la vie te mettra Ă  genoux et te laissera comme ça en permanence si tu la laisses faire. Toi, moi, n'importe qui, personne ne frappe aussi fort que la vie. C'est pas Le7 juillet dernier s'est ouvert le procĂšs intentĂ© par Johnny Depp contre le tabloĂŻd britannique The Sun, qui l'avait accusĂ© d'ĂȘtre un " cogneur de femmes. " WL28JFE. Vous ne connaissez pas votre identifiantL'identifiant client est le premier code confidentiel indispensable pour vous connecter Ă  votre compte Banque ce numĂ©ro Ă  10 chiffres, impossible pour vous d'accĂ©der Ă  votre Espace client et donc de connaĂźtre le solde de votre compte Banque retrouver votre identifiant, 3 solutions vous sont proposĂ©es Retrouvez votre identifiant sur votre contrat d'ouverture de compte Banque PostaleSur le courrier de bienvenue reçu lorsque vous avez ouvert votre compteEn haut, Ă  gauche de vos relevĂ©s de compte, vous trouverez votre numĂ©ro d'identifiantVous ne vous souvenez plus de votre mot de passeA l'ouverture de votre compte Banque Postale, vous recevez un mot de passe provisoire par pour la premiĂšre fois, vous vous connectez Ă  votre Espace client Internet, ou appli mobile, puis, vous modifiez votre mot de passe provisoire en un mot de passe choisi qui vous est mot de passe est strictement personnel. Il n'est Ă  divulguer Ă  banque postale ne vous demandera jamais de lui communiquer votre mot de passe. Soyez vous ne vous rappelez plus quel mot de passe vous avez choisi, allez sur le site ou sur l'application via l'Ă©cran d'identification d'accĂšs au compte, vous cliquez sur mot de passe oubliĂ© » et vous suivez le guide d'instruction. C'est trĂšs facile !Vous pouvez aussi rĂ©cupĂ©rer un nouveau mot de passe en vous adressant Ă  votre conseiller bancaire ou un chargĂ© de clientĂšle en bureau de poste sur justificatif d' banque Postale a bloquĂ© volontairement l'accĂšs Ă  la banque Ă  distancePour une multitude de raisons, votre conseiller Banque Postale a volontairement demandĂ© le blocage de votre compte sur ne pouvez plus consulter vos comptes Banque Postale sur internet ni mĂȘme faire des virements ou opposition Ă  vos moyens de par tĂ©lĂ©phone ou par mail votre gestionnaire des comptes et demandez lui pourquoi l'accĂšs Ă  la banque Ă  distance a Ă©tĂ© il vous donnera une explication claire et concise Ă  votre problĂšme de site est en maintenance informatiqueLe service informatique de la Banque Postale a volontairement dĂ©sactivĂ© l'accĂšs Banque Ă  distance Ă  tous ses informaticiens effectuent une mise Ă  jour ou une modification du site vous conseillons de patienter quelques heures voir de vous reconnecter au site le lendemain. Les mises Ă  jour sont rapides !Mettez Ă  jour votre navigateur informatiquePeut ĂȘtre que le problĂšme vient de votre navigateur internet et que celui-ci n'est plus Ă  jour. C'est pourquoi aujourd'hui, vous n'arrivez plus Ă  vous connecter Ă  votre compte Banque vous conseillons, dans un premier temps de vider les donnĂ©es de navigation de votre navigateur. Cela comprend l'historique et les essayez de vous connecter Ă  vos comptes de la Banque Postale depuis un autre vous constatez qu'il n'y a aucun souci pour accĂ©der Ă  votre banque Ă  distance banque postale, mettez Ă  jour votre navigateur escroc a usurpĂ© vos donnĂ©es confidentielles pour accĂ©der Ă  votre compte sur internetDe nombreuses tentatives de fraudes pullulent sur internet que ce soit des fraudes Ă  la CB ou des escroqueries pour vous usurper votre accĂšs Ă  votre compte sur pourquoi vous devez rester vigilant Ă  tout moment et ne communiquer vos donnĂ©es personnelles identifiant et mot de passe Ă  ĂȘtre avez vous reçu un mail de la Banque Postale vous demandant votre mot de passe et identifiant ? L'avez vous donnĂ© ?Si oui, alors il est possible que vous soyez victime d'un escroc. En rĂ©alitĂ©, votre banque vous demandera jamais votre identifiant et mot de conseil Vous devez rapidement contacter votre agence bancaire et leur demander de bloquer l'accĂšs demandez leur de vous renvoyer un nouveau mot de passe. Vous le modifierez avec un code diffĂ©rent de celui que vous avez choisi des sommes ont Ă©tĂ© dĂ©tournĂ©es de votre compte, dĂ©posez un dossier de remboursement de fraude Ă  votre agence Banque Ă  votre Espace Client Banque Postale est bloquĂ© suite Ă  plusieurs tentatives Ă©chouĂ©esPour des raisons de sĂ©curitĂ©, aprĂšs plusieurs Ă©checs de connexion, l'accĂšs Ă  vos compte banque postale est temporairement Ă©vite Ă  de possibles escrocs d'essayer divers mot de passe pour vous connecter Ă  vos comptes et au bout d'un certain moment de aprĂšs plusieurs tentatives de connexion, votre accĂšs banque Ă  distance banque postale est toujours refusĂ©, rendez vous Ă  un bureau de poste et demandez au chargĂ© d'accueil de vous redonner un nouveau mot de pouvez Ă©galement contactez votre conseiller banque postale pour qu'il vous l'envoie par courrier. Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau coffret Ultra Premium ... Voir le deal * Votre IdentitĂ© } Fiche de PrĂ©sentation PrĂ©sentations ValidĂ©es 2 participantsAuteurMessageJane Roasenberg5e annĂ©e ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Mar 19 AoĂ» - 1642 .QUELQUES RPGS .1° CREPUSCULELe crĂ©puscule teintait Ă  peine le ciel nacrĂ© de brume lorsque notre demoiselle s'imisça au dĂ©tour du feuillage foisonnant. Le parc de Poudlard semblait bien Ă©veillĂ©, chuchotant de mille voix les secrets microscopiques de Dame Nature. Jane releva son chemisier de flanelle blanche sur ses Ă©paules dĂ©nudĂ©es. Il y'avait cela de plaisant aux vacances ... On pouvait se vĂȘtir selon nos choix. Bye bye l'uniforme et bonjour aux couleurs et motifs orientaux. L'extravaguance ... Telle devait, semblait il, ĂȘtre la rĂšgle d'or en cette fin de vacances. Jane esquissa l'ombre d'un sourire, parcourant de ses yeux mordorĂ©s les tapis de fleurs qui embaumaient le miel et le parfum de songes. L'Ă©tĂ© ... Ah qu'il faisait bon en ce dĂ©but de soirĂ©e. Le soleil entammait tout juste sa course vers l'Orient, tandis que Dame Lune devait attendre patiemment le dĂ©but de son rĂšgne. Jane se mit Ă  chantonner. Tout se prĂȘter Ă  la gaietĂ©, l'insousciance ...*Je miamerais bien une Barbe Ă  Papa moi ...*HĂ©las, pas de barbe Ă  papa Ă  l'horizon. Jane rĂ©prima cette envie, impulsive. Arf la barbe Ă  papa, c'est comme le chocolat ... Quand ça vous tient, ça ne vous lĂąche pas de bonne grĂące!Il faisait chaud et Jane avait rĂ©solu de faire trempette dans le lac du chĂąteau. Les rives Ă©taient dĂ©sertĂ©es Ă  cette heure. Le cadran solaire indiquait 18 heures. Elle ne disposait plus que d'une heure, le couvre feu Ă©tant Ă  19 heures. Les berges Ă©taient tamisĂ©es de gazon, de reflets solaires, d'une brise lĂ©gĂšre ... Un vrai dĂ©cor de carte postale. Notre petite Jane s'Ă©tendit donc sur l'herbe grasse, les yeux mi clos, savourant ce dĂ©but d'Ă©tĂ© Ă  plein poumons. Nootre fillette laissa chavirer se spetons dans l'eau tiĂšde. La lĂ©gende contait qu'un gigantesque calamar, crĂ©ature abyssale, avait Ă©lu rĂ©sidence dans les profondeurs. On racontait aussi que le lac passait Ă©galement sous les fondations du chateau. Jane Ă©tait fascinĂ©e par ses croyances superstitieuses. On ne connaitrait jamais le fin mot de l'histoire et aprĂ©s ... Des bruits de pas l'interrompirent, coupant court Ă  ses pensĂ©es vaguabondes ...2° DOUCE SOIREELe crĂ©puscule teintait Ă  peine le ciel nacrĂ© de brume lorsque notre demoiselle revĂȘtit une robe de sombre velours, cadeau de son paternel. Un hibou hululait dans le lointain, Ă©corchant ainsi le silence noctambule qui beignait le chĂąteau. conduit ses membres engourdis par la fatigue en direction de la lucarne qui scindait le mur de pierres noircies. AccoudĂ©e de cette maniĂšre, notre demoiselle pouvait entrevoir la cĂźme des hauts feuillages, le murmure du lac endormi, les parterres de fleurs Ă©clos ... Dame Nature semblait s'assoupir au rythme des vaguelettes qui venaient s'Ă©chouer sur les rives du lac. Un parfum de songe, Ă©phĂ©mĂšre, embaumait l'air. Jane gonfla ses poumons, expirant sa fatigue au travers de ses lĂšvres gercĂ©es. Murmurant une douce comptine, notre fillette releva ses longs cheveux mordorĂ©s, d'une main guantĂ©e de blanc, Ă©vasive. Le chĂąteau Ă©tait dĂ©sertĂ© Ă  cette heure tardive. Chacun avait gagnĂ© son dortoir, selon le reglement. Le couvre feu ne tarderait guĂšre. Il Ă©tait bientĂŽt onze neuf heures. Dans une demi heure, tous ronfleraient, les poings fermĂ©s. Jane enfila une paire de pantoufle Ă  la hĂąte, avant de dĂ©valer les escaliers de marbre blanc, dĂ©ambulant ainsi de corridors en corridors. En ce dĂ©but de soirĂ©e, Jane ressentait le besoin de s'exiler, de naviguer hors du connu ... Peut ĂȘtre mĂȘme de venir s'Ă©chouer dans un recoin de la salle des trophĂ©s. Jane esquissa l'ombre d'un sourire. La fenĂȘtre Ă©tait entrouverte et ce fut avec dĂ©licatesse qu'elle la clos de nouveau. Lasse, Ă©puisĂ©e, Jane vint s'asseoir sur les contours d'un banc dĂ©crĂ©pi, abandonnĂ© lĂ  depuis nombre d'annĂ©es ... Qui avait bien pu s'asseoir lĂ  avant elle ... Combien d efantĂŽme avait traversĂ© cet obstacle taillĂ© de bois ... Quel en Ă©tĂ© l'artisan ... Autant de questions saugrenues, sans queue ni tĂȘte que notre fillette se rĂ©pĂ©taient, comme de coutume. Jane soupira. Il Ă©tait encore loin le temps des cerises ... Qu'importe! Les saisons se succĂ©daient, les unes aprĂ©s les autres, sans bel Ă©lĂ©ment pour les distinguer ... ExceptĂ© le rire de son amie Gin' et l'immagination sans dĂ©tours de sa comparse Lulu bien entendu ... Rien n'Ă©galait la fraĂźcheur de l'enfance pour Ă©gayer les songes de notre adolescente. Jane se surprit Ă  balancer ses jambes d'avant en arriĂšre, distraite. D'un Ă©lan, elle les envoya promener contre un trophĂ© de bronze qui vascilla dangereusement. Des bruits de pas rĂ©sonnĂšrent non loin d elĂ , elle en Ă©tait certaine dĂ©sormais ... Jane souffla la bougie qu'elle venait d'allumer, plongeant la piĂšce dans une pĂ©nombre difficilement sondable. La porte grinça, s'entrebaillant lĂ©gĂšrement ... Jane retint son souffle, saccadĂ© ... Les contours d'une silhouette se dessinĂšrent alors ... Dehors, la lune diffusait son pĂąle halo de lueur blanchĂątre ... Jane poussa un cri de surprise avant de plaquer sa main devant sa bouche ...Le cri avait Ă©tĂ© contenu in extremis. Se laisser aller Ă  de semblables exclamations n’étaient guĂšre recommandĂ© lorsqu’on se trouvait Ă  des mille de sa salle commune. Jane, bien qu’encore loin des rivages de la raison, avait toujours Ă©tĂ© une demoiselle des plus sages. Elle comprenait toute situation insolite d’un battement de cil et avait appris, avec l’ñge, Ă  anticiper de pareilles rencontres. Une silhouette se mouvait derriĂšre la porte, certes, mais rien ne laissait croire que ce fut celle d’un membre du personnel. Quoique la silhouette fĂ»t haute, Jane considĂ©ra que cela n’avait rien d’anormal. Ce devait ĂȘtre dĂ» Ă  la lueur de la lune qui projetait des silhouettes difformes sur le mur de pierres noircies, telles des ombres chinoises. Notre demoiselle inspira profondĂ©ment 
 Quand bien mĂȘme ces contours inconnus auraient appartenus Ă  un prĂ©fet quelconque, cela n’aurait guĂšre Ă©tĂ© un problĂšme pour Jane qui comptait deux de ses meilleures amies chez les prĂ©fets. AprĂšs tout 
 Que risquait elle sinon une heure de retenue barbante 
 Mais la peur de se faire disputer cĂ©da la place Ă  de nouvelles anxiĂ©tĂ©s. L’élĂšve en question lui demanderait certainement des comptes 
 Bien entendu, elle n’était point obligĂ©e de rĂ©pondre mais cela paraĂźtrait sans doute louche. Et comment expliquĂ© ce dĂ©sir de solitude qu’elle avait ressentit en ce dĂ©but de soirĂ©e et qui lui nouait dĂ©sormais les entrailles, tel un Ă©tau d’acier au creux de son ventre ? Non, cela semblerait tout autant bizarre pour quiconque connaissait la bonne humeur et l’esprit de camaraderie de notre fillette 
 Mais alors quoi 
 Sans doute aurait elle du songer Ă  se cacher mais elle n’en fit rien, bien trop perplexe pour permettre Ă  ses membres endoloris le moindre bout de quelques instants, la porte bascula tout Ă  fait et Jane cru distinguer la carrure masculine d’un Ă©lĂšve de son Ăąge, du moins guĂšre plus ĂągĂ©. La prĂ©sence se fit sentir, imposante, dans cette piĂšce sombre et silencieuse. La silhouette s’immergea un peu plus dans les lieux avant de clore la porte dans un claquement insonore. DĂ©sormais, ils Ă©taient deux dans ce recoin exilĂ© 
 Elle qui souhaitait ĂȘtre seule, c’était manquĂ©. Notre petite fille se surprit Ă  s’imaginer pour quelles diverses raisons cette autre personne pouvait elle se trouver lĂ  
 Comme de coutume, sa curiositĂ© l’emportait encore loin des sentiers battus 
 La salle des trophĂ©es n’était pourtant pas le lieu le plus frĂ©quentĂ© de Poudlard, loin s’en fallait. Enfin, ce n’était pas plus son problĂšme que la calvitie du vieux Flitwick et Jane prit parti de se taire. La grande horloge du chĂąteau sonna neuf heures dans le lointain. Un bruissement agita quelques instants les feuillages et la lucarne entrouverte claqua de nouveau. Jane s’empressa d’en condamner l’accĂšs Ă  l’aide d’une poutre de bois qui traĂźnait Ă  ses pieds. Une fois le tour accompli, celle-ci se hissa sur la pointe des pieds, dĂ©couvrant de ses grands yeux mordorĂ©s l’inconnu qui se trouvait dĂ©sormais face Ă  elle. C’était un garçon d’environ dix sept ans, Ă  peine plus ĂągĂ© qu’elle. Il arborait les couleurs de Poufsouffle, du moins fut ce ce qu’elle cru entrevoir dans la pĂ©nombre qui s’estompait peu Ă  peu. Il aurait surement brisĂ© bien des cƓurs s’il n’affichait sans cesse ce regard Ă©trange qui dĂ©courageait d’avance les plus audacieux. Jane ne connaissait point son nom, bien qu’elle l’ait dĂ©jĂ  croisĂ© quelques fois sans le remarquer vraiment 
 Ce fut d’une voix Ă©vasive qu’il s’excusa d’un mot. Notre demoiselle hocha la tĂȘte, quelque peu Ă©garĂ©e par cette drĂŽle de rencontre 
 RoasenbergPRENOM ~~> JaneAGE ~~> 15 AnsANNEE ~~> 5EmeDATE DE NAISSANCE ~~> Le 25 NovembreLIEU DE NAISSANCE ~~> Londres-Royaume-UnisORIGINE ~~> Sang-PurPHYSIQUE ~~>Voici un portrait de moi. Il date de l’annĂ©e derniĂšre. Oh, je n’ai guĂšre changĂ© depuis le mois de Mai. De toute façon, maman dit que je ne grandirai plus. SorciĂšre, plus d’excuse pour la soupe !Eh oui 
 Je suis plutĂŽt mignonne. Non, vous m’aviez promis 
 Pas ordinaire ! Enfin si, peut ĂȘtre un poil mais rien de mĂ©chant. Comme beaucoup de demoiselles, je traite mes boutons d’acnĂ© en grimaçant, j’ai les Ă©paules lĂ©gĂšrement recourbĂ©es, un nez trop long Ă  mon goĂ»t et un teint couleur papier chiotte. Je suis plus blanche qu’un cachet d’aspirine. Quand j’étais petite, ma mĂšre me tartinait d’onguents magiques pour brunir ma peau du nord. Mais avec l’ñge, elles perdent de leur efficacitĂ©. Mais on s’y fait Ă  la longue. Les garçons ont grandis eux aussi et ils ne m’appellent plus grande perche en me dĂ©signant du doigt dans les escaliers. Et oui 
 Je ne suis pas miraculĂ©e et je vis le lot de tous mes camarades. Enfin, exceptĂ© les grosses dindes qui se pavanent avec leurs cheveux couleur de blĂ©. Ce qu’elles peuvent m’agacer. Pour sur, elles ne sont pas ordinaires celles-ci. En revanche, j’ai un regard qui tue. Pour de bon, ce ne sont pas des blagues. A croire que Dany Brillant chantait pour moi 
 Non je plaisante 
 J’ai donc de beaux yeux sombres, lĂ©gĂšrement bridĂ©s qui donnent Ă  mon regard une ampleur dimensionnelle. Surtout quand je les cerne de noir. Papa n’aime pas que je me maquille. Il dit que ce n’est pas de mon Ăąge. Attendez j’ai quinze ans quoi 
 Toutes mes copines se maquillent. Pfff 
 Comment je peux leur expliquer ça moi. Remarquez, vu comme je gigote tout le temps, ça ne tiendrait pas. Je cours de kilomĂštres et bam je transpire, fond de teint foutu. Je bois un grand coup de citrouille et boum, fini le rouge Ă  lĂšvre. Et encore, je ne vous parle pas du mascara lorsque je me ramasse dans l’escalier et que je finis en larmes chez l’infirmiĂšre. En somme, je prĂ©fĂšre aĂ©rer un peu mon beau visage de princesse ~~>Et voila c’est reparti 
 Qu’est ce que c’est que ces questions malvenues 
 Bon aprĂšs tout pourquoi pas, mais laissez moi vous dire que vous ĂȘtes un bien drĂŽle de lecteur et que vous seriez plus satisfait d’une interview du prince toujours Ă©tĂ© capricieuse et lĂ©gĂšrement dĂ©calĂ©e quant au reste du monde. De plus, ce qui ne gĂąche rien au spectacle, j’étais trĂšs bonne comĂ©dienne. Je suis certaine que ma mĂšre se ferrait un plaisir de vous conter mes scĂšnes larmoyantes. Au final, je puis vous dire que j’obtenais rĂ©guliĂšrement gain de cause. Il y’a autre chose que vous devez savoir sur moi 
 Non seulement je suis une petite fille comme les autres, mais en plus de cela j’ai horreur de me sentir ordinaire. Je rĂȘve bien volontiers de mon nom Ă©crit dans les livres d’histoires, ou bien encore de ce beau navire drapĂ© de noir dont je vous causais tout Ă  l’heure. Je m’imagine corsaire ou vagabond, princesse ou Charlemagne. Tout ce que vous voulez tant que ce n’est pas Ă  la portĂ©e des autres enfants de mon Ăąge. C’est aussi pour cette raison que je choisis Etude des moldus comme option, lorsque tous mes autres camarades se rendirent en classe de divination ou d’arithmancie. RĂ©sultat des courses 
 Nous ne sommes que trois pingouins durant ces heures ! Outre mon fichu caractĂšre, je suis dĂ©bordante de vitalitĂ© et de curiositĂ©. Pour moi, la vie c’est comme un gros gĂąteau au chocolat. On se rĂ©gale du dĂ©but Ă  la fin 
 Mourir d’une indigestion, ne serrait ce pas le rĂȘve ?!Je suis Ă©galement une grande sportive et vĂ©ritable amatrice des jeux olympiques moldus. J’aime particuliĂšrement ce qui a trait Ă  la mer. L’étĂ© dernier, j’ai fait un stage de planche Ă  voile, et croyez moi bande de gras du bide, on force sur les bras. Je suis aussi une camarade drĂŽle et pleine d’une imagination dĂ©bordante. Lorsque nous n’étions encore que des petits bĂ©bĂ©s de premiĂšre annĂ©e, nous nous rassemblions dans le dortoir afin de laisser libre court Ă  notre imagination. J’inventer alors des contes merveilleux des quatre coins du monde, mimant la baleine bleue tout en gonflant mes joues rosĂ©es. Outre cela, je suis dotĂ©e d’un sens de l’équitĂ©, de la justice et de la tolĂ©rance qui ne se compte plus en bornes 
 Par contre je vous ai pas dit 
 J’ai une grave maladie Roulements de tambour 
 J’ai la bougeotte en permanence ! Rires 
 Sisi c’était drĂŽle.HISTOIRE ~~>Bonjour Ă  vous, cher lecteur. Mon nom est Jane Roasenberg. S’il peut vous paraĂźtre incongrue Ă  vous, français, il semble des plus ordinaires dans mon pays natal, l’ prĂ©nom ordinaire pour une fillette des plus ordinaires en somme. Je vis en plein cƓur de Londres, dans une modeste villa, prĂ©s du quartier latin. Je manie parfaitement le français, du moins Ă  l’oral, parce qu’avec toutes ces conjugaisons 
 Je soufflerai mes quinze bougies le mois prochain. Autant vous dire que les prĂ©paratifs vont bon train 
 Quinze ans, ce n’est pas rien aprĂšs tout 
 On quitte les douceurs de son Ăąge pour gravir le sentier rugueux de l’adolescence 
 La belle affaire !Je suis fille unique mais il y’a toujours une bonne dizaine d’enfants Ă  la maison. Laissez-moi-vous Ă©clairer. Ma mĂšre, Holly, est nourrice Ă  mi temps. De plus, ma tante est une vraie pouponniĂšre qui habite la ruelle qui fait l’angle 
 Donc les biberons valsent chaque matin, au lever du jour. Pas idĂ©al pour faire la grasse mat’ mais Ă  dire vrai je m’en rĂ©jouis plutĂŽt. Mon pĂšre quant Ă  lui tient un modeste commerce sur le Chemin De Traverse. On le surnomme joyeusement Gray le cuistot parce qu’il passe la majeur partie de son temps Ă  mijoter de drĂŽles de potions dans une marmite d’eau on me demande ce que je suis 
 Je ne saisis pas toujours le sens de cette question. Un jour, Oncle Jonhatan m’a expliquĂ© que nombre de sorciers attribuaient de l’importance Ă  ce qu’ils appellent la puretĂ© de l’ascendance. Rendez vous compte 
 Je pensais que de nos jours, on ne s’arrĂȘtait plus Ă  de telles broutilles mais il paraĂźt au contraire que cela doit ĂȘtre spĂ©cifiĂ© sur votre carte d’identitĂ© 
 Allons donc ! Je ne sais jamais vraiment que rĂ©pondre 
 Je ne suis pas un crackmol, dieu merci, ni d’origine moldue puisque mes deux parents sont des sorciers 
 Cependant, mes grand parents du cĂŽtĂ© maternel n’étaient que simples moldus aristocratiques. Ils ont dĂ©shĂ©ritĂ© leur fille lorsqu’ils l’ont su ces bougres 
 Enfin bon, on s’égare 
 OĂč en Ă©tions nous ? Ah oui, mon enfance 
 Ce fut une enfance des plus ordinaires et je vĂ©cus les douceurs de mon Ăąge sans trop de soucis 
 Quoique 
 Il y’a bien Baluchon, mon chimpanzĂ©, importĂ© des Indes par mon adorables cousin Louis, qui mourut prĂ©maturĂ©ment. Et puis, si je me souviens bien, mĂ©mĂ© Rose m’obligea Ă  porter ces affreuses lunettes rondes durant mes deux premiĂšres annĂ©es d’école. Sans compter mon dictateur de pĂšre qui me forçait Ă  ranger ma chambre tous les lundis sans faute 
 Mais si on y rĂ©flĂ©chit Ă  deux fois, on s’apercevra sans mal que je fus une drĂŽle de fillette bien tranquille dans son petit nid douillet. Je ne connus pas mĂȘme le moindre bout d’un enterrement ou d’une sĂ©paration 
 Parfois, je me surprenais Ă  Ă©chafauder des plans machiavĂ©liques pour faire en sorte que ma vie soit plus attrayante. Je m’imaginais alors corsaire, Ă  bord d’un beau navire drapĂ© de noir. J’ai toujours aimĂ© la mer. Quand j’étais plus jeune, nous partions chaque Ă©tĂ© en vacances, dans le sud de la France. L’eau y est plus chaude qu’en Angleterre, pour sĂ»r. Nous dormions dans une cahute de pĂȘcheur, chez mon oncle Sam, et sa française de femme, Alyson. J’étais mĂȘme lĂ  pour le baptĂȘme du petiot, Oliver. Lorsqu’il Ă©tait nĂ©, la lĂ©gende raconte que le marmot avait les pieds palmĂ©s et que son pĂšre s’était Ă©criĂ©, levant les mains au ciel "Tonnerre de Brest 
 Il mourra en loup de mer 
 C’est Ă©crit 
"Personne n’y croyait vraiment mais tous faisaient mine de s’extasier devant les pieds tordus du nourrisson. Moi je rigolais bien tout de mĂȘme. A l’école, c’était autre chose, ah ça oui. Je n’ai jamais Ă©tĂ© une lumiĂšre mais il y’eut des fois oĂč mes instituteurs s’arrachaient littĂ©ralement leurs beau duvet grisonnants. Enfin bon, j’aimais lire, ce qui me maintenait tout juste en dessous de la moyenne. Pas de quoi en faire un fromage. Bien que mes bulletins scolaires ne soient pas brillantissimes, je me plaisais tout de mĂȘme beaucoup dans ma nouvelle Ă©cole. Le chĂąteau m’apportait ce petit renouveau qui m’avait jusque lĂ  bien manquĂ©. Je passais la plupart de mes vacances auprĂšs de mes parents et des petits geignards, en vadrouille dans le salon. Vraiment 
 Je ne vois pas en quoi cela peut vous intĂ©resser mais bon, puisque vous insistez, laissez moi continuer 
CĂŽtĂ© relationnel, je n’ai jamais eu de grands problĂšme. Le temps Ă©tait au beau fixe. J’étais une camarade extravagante et pleine de vie. En somme je n’eus guĂšre d’ennuis avec mes petits compagnons ces quatre premiĂšres annĂ©es. Je me souviens mĂȘme de quelques flirts Ă  l’occasion. Comme la plupart des filles de mon Ăąge, je ressemblais plus Ă  un pigeon qu’à une tourterelle avec mes longs cheveux filasses, mes quelques boutons d’acnĂ© et mes trois kilos en trop. Cependant, je ne m’en plaignais point, considĂ©rant la chance que j’avais que le sort ne m’ai point dotĂ© d’un corps de dinde. Si si, regardez bien 
 Il y’en a beaucoup qui se ballade dans les couloirs du chĂąteau. De plus, j’avais, puis je m’admirer un poil s’il vous plaĂźt, un magnifique regard sombre, dĂ©bordant de caractĂšre. C’était tout moi, et ce, en un seul battement des ma quatriĂšme annĂ©e, il y’eut du relĂąchement. La crise d’adolescence comme me le fis sagement remarquer ma mĂšre dans chacune de ses lettres. Elle a parfois le don de m’agacer, comme beaucoup de mĂšres semble t’il !Je manquai les cours plus souvent que de raisons, devenant de moins en moins assidue, sans qu’il n’y ait rien d’alarmant cependant. Je me disputais aussi un peu avec mon ami Raoul et perdit une belle somme en jouant Ă  saute dragon avec des trolls. Je me repris tout juste en fin d’annĂ©e et passai en cinquiĂšme annĂ©e, au grand soulagement de mes voili voilo 
 Me revoilĂ  sur scĂšne 
 La vie plate et monotone de Melle Jane Roasenberg n’a pas fini de vous barber 
 A la prochaine!PARTICULARITES ~~> Un goĂ»t prononçé pour les ~~> Gentillesse, Douceur, Immagination, DrĂŽle, ~~> TĂȘte de mule, Gourmande, PREFEREE ~~> AstronomieMATIERE DETESTEE ~~> MĂ©tamorphose. VOUS .PRENOM ~~> LouAGE ~~> 18 AnsOU AVEZ VOUS CONNU LE FOFO ~~> Via un Top SitesCOMMENT LE TROUVEZ VOUS ~~> Cool ... AVATAR ~~> Hayden PannetiĂšreCODE ~~> NOTE RP ~~> Hum ... Je dirais 6/10 ...Je me suis permise quelques pitits rajouts vis Ă  vis de la fiche modĂšle ... Veuillez m'excuser. Je m'empresse de les ĂŽter si cela ne vous convient pas ... DerniĂšre Ă©dition par Jane Roasenberg le Mar 19 AoĂ» - 1652, Ă©ditĂ© 1 fois Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnĂ©e 7e annĂ©eDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 AoĂ» - 1647 Bienvenue ! Don't Worry, Be Happy. J'empĂȘche personne d'arranger sa fiche comme il veut, il faut juste avoir le principal =P Ta fiche est trĂšs bien & je pense que tout y part un seul truc Le code du rĂšglement ! ^^Sinon, tu as une prĂ©fĂ©rence pour ta maison ?_________________ LA HAINE n'est que le RĂ©sultat de notre indiffĂ©rence. * } Jane Roasenberg5e annĂ©e ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Re Mar 19 AoĂ» - 1654 Merci pour ce bel acceuil ... J'ai rectifiĂ© mes erreurs En ce qui concerne mon appartenance Ă  une maison, je vous laisse le soin de choisir pour moi ... Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnĂ©e 7e annĂ©eDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 AoĂ» - 1655 Le code est correct, je ta maison, j'hĂ©site entre Poufsouffle & Gryffondor, mais je pense que tu serais mieux Ă  ca ne te convient pas, n'hĂ©site pas Ă  le dire _________________ LA HAINE n'est que le RĂ©sultat de notre indiffĂ©rence. * } Jane Roasenberg5e annĂ©e ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Re Mar 19 AoĂ» - 1658 Va pour Poufsouffle ... No soucis Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnĂ©e 7e annĂ©eDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 AoĂ» - 1707 Tant mieux, donc LA HAINE n'est que le RĂ©sultat de notre indiffĂ©rence. * } Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum * Votre IdentitĂ© } Fiche de PrĂ©sentation PrĂ©sentations ValidĂ©esSauter vers Sujet Toi, moi, n'importe qui, personne ne frappe aussi fort que la vie tsopris MP 05 mars 2018 Ă  003454 c’est pas d’ĂȘtre un bon cogneur qui compte l’important c’est de se faire cogner et d’aller quand mĂȘme de l’avant, c’est de pouvoir encaisser sans jamais flancher et c’est comme ça qu’on gagne » A mĂ©diter Bobbbybryan MP 05 mars 2018 Ă  003522 Rocky tellement vrai . anusfromager MP 05 mars 2018 Ă  003543 l'important c'est de se prendre des cognards dans le cul et de soigner les hĂ©morroĂŻdes avec sa langue Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?

c est pas d ĂȘtre un bon cogneur qui compte